Vos témoignages

Claire :​

Mon mari était addict à l’alcool depuis bien plus de 15 ans. Cela ne l’empêchait pas de travailler, elle ne le laissait pas saoul, c’était plutôt une consommation quotidienne, cachée, lancinante qui laissait des fruits amers. Il a essayé plusieurs fois de s’arrêter, accompagné par une association, mais lorsque cela grattait, il abandonnait.
J’ai participé au Jéricho de février.
Depuis, mon mari a arrêté l’alcool. Il est le premier à s’investir dans les rendez-vous médicaux, il s’est engagé dans une thérapie personnelle et est passé au 0 alcool sans grande difficulté, fier de commander des cocktails « sans alcool », des jus de fruits. Il ose aujourd’hui dire en famille qu’il avait des soucis d’addiction. Et surtout, il vit tout cela en cheminant avec le Seigneur et s’épaulant sur sa femme.
Merci Seigneur !

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Marc :

Chers Benoit et Cher Raphaël-Marie,

Merci pour ce beau parcours que votre intercession nous a permis de faire pendant ces 7 jours. Quand Benoit m’a parlé de la démarche, j’ai tout de suite accroché, car j’étais en pleine lecture du livre de Jéricho !! Et j’avais déjà reçu l‘interprétation de la prise de la citadelle comme une image du combat spirituel et de la purification à laquelle Dieu nous appelle.

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J’ai vraiment suivi à la lettre vos instructions et j’ai tout mis dans cette citadelle de Jericho : mes faiblesses, mon égo, des péchés lourds et récurrents.

Puis, j’ai accompagné le cycle de prière de beaucoup de louange et de pratique de ski de fond en écoutant la louange.

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Le Troisième jour j’ai ressenti comme un ébranlement en moi, les murs explosaient pour laisser sortir une grande lumière, j’éclatais en sanglots et en joie au même moment.

Je ressentais que c’était vraiment la puissance de Dieu qui se manifestait à moi, me délivrait et me disait qu’Il est vainqueur et que je peux vraiment me reposer sur lui, en particulier pour repousser les attaques du malin.

J’étais calme et je contemplais la beauté de sa création dans un écrin de Montagne !

 

Je ressors de ce cycle de prière avec ces 4 mots : foi, humilité, charité, joie !

 

Amen, soyez bénis pour votre initiative.

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Marino :

✓ Restauration de mon foyer qui traversait une crise (le lendemain du Jéricho à mon réveil, mon mari m'a présenté ses excuses à travers un message)
✓ Présenter ma petite sœur malade et qui avait subi une intervention du sein due au cancer et son rétablissement total (le deuxième jour du Jéricho coïncidait avec le retrait de ses résultats ,qui s'est avéré négatif, oooh quelle joie!)
✓  présentation au Seigneur de mon fils qui traverse une crise d'adolescence difficile. Le 3ᵉ jour ,il m'a demandé à faire la cuisine et sort moins qu'avant.
✓ Que mon petit frère (40 ans) trouve une bonne dans 2 mois, car celui-ci est veuf avec 3 enfants depuis 2018 ,pas de chance en amour ( le 5ᵉ jour du Jéricho, à 19h, j'ai reçu la bonne nouvelle qu'une jeune veuve lui a dit oui).​

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Marie-Helene :
Je remercie le Seigneur des Armées, la force qui nous sauve.
J’ai remarqué qu’après le Jéricho, je suis plus attentive, mon écoute est plus aiguisée.

Une parole, une phrase me touche, attire mon attention sur une interrogation, une réponse se profile et je suis persuadée que c’est l’intervention divine.

Merci Seigneur.

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Helene :​

Bonjour,

J'ai participé à la prière de Jéricho, je pense que c'était la semaine dernière. Je n'ai pas pu finir la démarche, je me suis essoufflée au quatrième jour, et le cinquième, je me suis arrêtée.

J'ai demandé à ce qu'une justice me soit rendue, je pense avoir été victime de magie par une personne jalouse.

Le troisième jour, j'ai ressenti une libération, et elle est effective aujourd'hui, à l'heure où je vous écris.

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J'ai encore parfois de la peine pour le mal que l'on m'a fait, c'est difficile à expliquer, mais je ressens que cela appartient au passé et que je n'ai plus à y penser ou à souffrir davantage, je suis beaucoup plus en paix et je me projette dans l'avenir, alors que ça fait plus de trois ans que je ressassais le passé et que je souffrais intensément.

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J'ai encore à découvrir beaucoup de ce que Dieu attend de moi, de ce qu'est la vraie liberté en Christ. L'épreuve que j'ai vécue il y a quatre ans est aussi et surtout celle qui m'a amenée à la conversion, et à la suite de laquelle j'ai rencontré Jésus.

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À l'époque, j'ai été guérie en un instant. J'ai pu constater que, par la suite, c'est tout mon être qu'il fallait reconstruire, et je continue à le constater, je crois. Les épreuves que l'on traverse sont mystérieuses, liées au transgénérationnel et à tant de facteurs, et vraiment Jésus se trouve là, l'Alpha et l'Oméga, à tous les carrefours si je puis dire, de toute sa largesse, partout.

Il a TOUT pris sur la croix et rien ne peut lui échapper de nos calvaires.

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Je sais qu'il faut que je finisse la démarche. Peut-être ne suis je pas encore suffisamment dans l'abandon. J'ai prié pour que ceux qui m'ont fait de la magie soient dévoilés et que cela se sache au grand jour. Peut-être que ma prière n'est pas correcte, et je le savais au fond de moi quand j'ai commencé. Il y a encore de la rancune en moi, et Dieu veut que je prie pour ceux qui m'ont fait du mal et pour leur conversion.

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Il veut que je vive de Sa paix, et non de la mienne. Je chemine en ce sens par Sa grâce.

Merci mes amis pour vos prières. Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse abondamment et vous garde dans son amour et sa miséricorde.

Udp

 

Febronia :

Bonjour :)
Je voulais juste donner un témoignage, que Jésus œuvre et sauve.

L'entrée dans la vie a mal commencé pour moi : fin de l'adolescence, j'ai été hospitalisée en psychiatrie (on m'a diagnostiqué des troubles de la pensée). J'ai lu beaucoup de choses sur ces troubles et il s'agissait de troubles chroniques avec traitement (prise assidue et nécessaire de médicaments et observation en continue...)

Souvent, cela arrive jeune et c'est une chose horrible : je l'ai vécu comme un enfer.

On est comme dans un piège, un gouffre où vous ne pouvez pas sortir, où tout devient cercle vicieux, dans votre esprit comme dans la vie au quotidien...

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En réalité, à un moment, on est complètement dépersonnalisé : on ne peut même pas dire qui on est... ( pour moi il en a été jusque là ) je ne sentais que la souffrance et la douleur.

J'étais dans des crises et des pleurs sans parler de la peur…
La peur, qui peut être dangereuse…

Je dis dangereuse, car elle rend impuissant et vulnérable et elle ne fait que favoriser des états de délires, de confusions et de paranoïa…

Je sais qu'il y a beaucoup de clichés sur ce genre de maladie, de mal-être ou d'handicap… Et c'est d'autant plus difficile aussi quand la société stigmatise ces personnes déjà fragiles et que c'est un mal qui ne se voit pas vraiment...

Que souvent, il y a la maladresse d'un réflexe de comparaison spontanée presque instinctif chez beaucoup (exemple : "il y en a d'autres qui ont pire"...)

Une maladresse , car on a tous une misère au fond, un poids à porter en particulier, et qu'on est tous différent et unique avec un degré , un niveau qui supporte la douleur émotionnelle ou physique différente...

Il y a aussi de l'incompréhension et parfois le sentiment d'impuissance face à cela...

Je me sens guérir , je sens que je commence à me trouver, à savoir qui je suis et savoir ce que je veux et ce que j' ai besoin ..

Cela peut paraître simple, mais pour moi, cela a été un long chemin .
Un long chemin parcouru.

Je ne peux pas dire une guérison miraculeuse , même si au fond de moi je le ressens comme un miracle.

Aujourd'hui, je me sens touchée et j'ai évolué spirituellement ...
Je rends grâce à Dieu pour cela.
Maintenant , je veux juste poser la foi dans ma vie, dans ce que je fais ; cela peut être dans un geste, une parole ou être à l'écoute simplement .

​Il peut y avoir des obstacles, mais une phrase me tient : "N'ayez pas peur, ayez confiance…"

 

Anonyme, ami de Dieu​

Bonjour,

J'ai reçu une grâce pendant la semaine Jéricho et je souhaitais vous la partager.
J'étais très stressé vis-à-vis de la préparation d'un concours (forts battements de cœur et difficulté à m'endormir).

J'ai remis cette peur dans les mains de Dieu conformément à ce qui était conseillé la première journée du programme.
La simple phrase "Seigneur, je remets ma peur entre tes mains" l'a effacé, puisque le lendemain, ma peur avait totalement disparu (absence de battement de cœur).

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Je n'ai presque jamais remis cette peur à Dieu, car je cherchais à la contrôler seul.

Depuis la semaine de Jéricho, je n'ai plus de stress lié à ce concours.
L'avantage avec Jéricho, c'est qu'une fois notre intention remise à Dieu, on n'y pense plus et on a l'esprit libre afin de prier pour les intentions des autres membres du groupe.

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Je vous remercie pour ce que vous faites,

Que Dieu vous bénisse.

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Audrey, Ablon-sur-seine :

Merci pour cette semaine passée ensemble en union de prières.

C'était une démarche vraiment vivante.

Infiniment reconnaissante envers Dieu qui vous utilise pour communiquer à son peuple

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Claire, Paris :

Le 1er jour, je dépose tout dans le cœur de Jésus et là, dès que j'ai commencé à louer le Seigneur, je me suis mise à chanter en langue alors que je n'y arrivais plus depuis des mois.

Samedi, énorme combat pour aller prier à St Étienne. 

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Que des embûches, train raté à 5 minutes, et c’est la première fois que cela m'arrive !

Mais rien n'arrête les guerriers de Jésus !

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Puis hier, énorme surprise : J'ai revu ma filleule Fanny qui est exilée en Australie pour une raison familiale douloureuse. Cela fait au moins 10ans qu’il n’y a aucune communication de sa part. 

Et là je la retrouve et elle me fait part qu’elle à eu une vision extraordinaire de Saint Michel archange la poussant en avant vers la foi.

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J'ai alors pu lui donner le Nouveau Testament avec l'Apocalypse. 

Gloire à Dieu !

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Emma, Rambouillet :

J'ai senti l'intercession de mes frères et sœurs.

Pourtant, je n'ai pas fait la démarche dans son intégralité et cela a porté du fruit tout de suite dans ma vie ! C'est incroyable que tout le monde prie pour les autres.